Tout sur l’étude photométrique

Un lampadaire solaire s’installe très facilement cependant afin de garantir une puissance optimale de l’éclairage, chaque projet passe entre les mains (expertes !) d’un bureau d’études. Fonroche Eclairage dispose de son propre bureau d’études (BE) pour mener à bien tous les projets d’éclairage public solaire. Après avoir identifié le besoin du client, et afin de proposer la meilleure solution, les ingénieurs effectuent deux études :

  • L’étude solaire, qui calcule le potentiel d’ensoleillement de l’emplacement géographique et détermine le dimensionnement de chaque composant,
  • L’étude photométrique, qui simule l’implantation et le niveau d’éclairement des lampadaires solaires.

Dans cet article, nous parlerons de cette deuxième phase en prenant l’exemple d’un rond-point éclairé grâce aux lampadaires solaires Fonroche Eclairage.

L’étude photométrique en lumière

Le guide des mots techniques

Dans un premier temps, il est nécessaire de se familiariser avec quelques termes techniques. En effet, lorsque nos experts du BE réalisent une étude photométrique, plusieurs valeurs entrent en compte : les watts, les lumens et les lux. Petite explication des notions :

  • La puissance énergétique est exprimée en watt. Le panneau photovoltaïque et la batterie sont dimensionnés en fonction de l’ensoleillement annuel, afin de produire suffisamment d'énergie pour éclairer 365 nuits par an.
  • Le flux est la quantité de lumière émise par la lanterne LED, et s’exprime en lumen.
  • L’éclairement est la densité de lumière reçue par la route, qui s’exprime en lux. Cette unité permet de définir le nombre de lampadaires nécessaires pour éclairer le projet.


L’efficacité lumineuse

La simulation d’implantation des lampadaires solaires, réalisée par le Bureau d’études permet d’atteindre les normes d'éclairement et d'uniformité, en lien avec les besoins du client. C'est-à-dire, déterminer l’inter-distance entre chaque candélabre public, afin que la zone soit éclairée de façon homogène. Un niveau de lux moyen [quantité moyenne d’éclairement au sol] est défini pour éviter des zones d’ombre et donc d’insécurité. Cette étude ne doit pas surévaluer le nombre de lux nécessaires, pour proposer au client une solution adaptée à son budget. Car plus on veut de lux, plus on a besoin de lumen et donc de watt, plus la batterie doit être puissante, le panneau photovoltaïque avec plus de rendement, etc… et de ce fait un budget adapté… Et oui, tout est lié ! De plus, dans une logique de respect de l’environnement, Fonroche Eclairage s’engage contre la pollution lumineuse, en optimisant son éclairage.

L’étude photométrique d’un rond-point

L’implantation des points lumineux sur un rond-point

Le projet d’éclairer en solaire un rond-point est plus complexe que d’illuminer une route. En effet, l’inter-distance entre les lampadaires doit être plus courte à cause de la forme arrondie de l’infrastructure, tout en évitant d’illuminer des zones inutiles. De plus un rond-point est une zone de conflit qui doit bénéficier d’un éclairage suffisamment puissant pour garantir la sécurité des usagers de la route. En fonction du nombre de lux demandé par le client, nos experts du Bureaux d’études définissent la quantité de candélabres solaires autonomes nécessaires, dans le respect de la norme européenne d’éclairage public EN13201 et proposent une intégration paysagère grâce au logiciel DiaLux.

Quelques réalisations

Plusieurs communes ont déjà fait confiance à Fonroche Eclairage pour sécuriser en solaire leurs ronds points.

Rond-point à Roquefort (47)


Rond-point à Cruscades (11)


Rond-point dans une ZAC à Châteaubernard (16)

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